Nos Trajectoires : séries de rencontres autour de récits fragmentaires, non-conférences, présentation de créations et de productions en cours, projections ciné-club.
I Would rather be a cyborg than a goddess,
30 novembre 2018
Bonjour toustes,
"il reste un tout petit peu de temps, pas beaucoup, pour nous révolter. Il faut se mobiliser pour certains mondes, et contre d’autres." Donna Haraway
Soirée autour de la pensée de Donna Haraway et projection du documentaire :
DONNA HARAWAY: STORY TELLING FOR EARTHLY SURVIVAL
FABRIZIO TERRANOVA
BELGIQUE, FRANCE, 2016
24 février 2018, Chill-zone de rencontres, de consultation de textes, de documentaires, de clips musicaux et d’extraits de films, pour la soirée de lancement de l’association Queer-LGBTQI La Poudrière.
Préparation du « totem » de consultation de documentaires, de clips musicaux et d’extraits de films, pour la soirée de lancement de l’association La Poudrière. Téléviseurs, casques, lecture vidéo en boucle sur Raspberry-Pi
Mardi 3 novembre 2015, Timeline sur les environnements immersifs à A.L.I.M. 22
Test de Timeline.JS sur le thème des environnements média et d’après la lecture, entre autres, des ouvrages de Fred Turner. (Atelier lumière interaction machine, N°22).
2 février 2015 – SOLARIS
Film d’Andreï Tarkovsky, 1972, d’après le roman éponyme de Stanislas Lem.
Projection lundi 2 février 2015 dans le Dôme Haçienda, à partir de 20h00.
A.L.I.M. / Trajectoires / Approches culturelles et critiques de l’innovation
Programmation thématique sur l’histoire visuelle et critique de nos relations à la technologie. Présentations publiques de recherches, conférences, projections de films.
En parallèle aux ateliers pratiques, ces sessions proposent d’aborder le rapport à la technologie sous ses dimensions culturelles, économiques et politiques.
Nous sommes environnés de dispositifs techniques dont l’usage nous séduit et nous facilite la vie quotidienne. A toutes les échelles, de l’ « individu connecté » aux « villes intelligentes », la relation à la technologie devient de plus en plus généralisée et intime. Une fois adoptée, une technologie peut vite devenir indispensable et nous enchaîne à en suivre les développements.
Nous passons beaucoup de temps avec ces dispositifs machiniques que nous apprenons à comprendre, à tel point qu’il semblent parfois être devenus nos principaux interlocuteurs. Il est aussi possible de considérer que les médiations des dispositifs culturels et techniques, l’immersion dans les médias, soient inhérentes à l’interaction de l’animal humain avec son environnement. C’est sous une multiplicité de formes – entre autres artistiques – que les cultures produisent des artefacts essentiels pour aborder ces notions et les croyances qui leurs sont liées.
28 mai 2014 – Trajectoires : « VIVANT » et « Borom Sarret »
Projection de deux ensembles vidéo double écrans sur le passage d’un champ spécialisé à un autre, d’une culture à une autre, d’une époque à une autre.
« VIVANT » (New-York, Arnaud Jammet et Olivia Vergnolle, 2013) – poème visuel sur les images et un savoir scientifique : montage mêlant des entretiens menés avec une chercheuse en biochimie, des expérimentations vidéo et une dérive urbaine dans New-York (post-production de la résidence « Regards Croisés » 2013, Triangle Art Association-Institut Français-Ville du Havre).
« Borom Sarret » (Delphine Thibon, Dakar, 1963-2013) – installation autour du film « Borom Sarret », fiction réalisée en 1963 par le cinéaste Ousmane Sembène qui met en scène la journée d’un charretier à Dakar, et une reconstitution documentaire du film tournée en 2013 reprenant l’itinéraire du charretier dans la capitale sénégalaise.
21 septembre 2013 – La Voix de son maître
Expérience de diffusion d’une conférence radiophonique de Theodor W. Adorno, L’industrie culturelle (1963), à l’intérieur du Dôme Haçienda, en off d’une fête de quartier co-organisée au Fort de Tourneville, par plusieurs organisations d’acteurs culturels Havrais.
« Il semble bien que le terme d' »industrie culturelle » ait été employé pour la première fois dans le livre Dialektik der Aufklärung que Horkheimer et moi avons publié en 1947 à Amsterdam. Dans nos ébauches, il était question de « culture de masse ». Nous avons abandonné cette dernière expression pour la remplacer par « industrie culturelle », afin d’exclure de prime abord l’interprétation qui plaît aux avocats de la chose ; ceux-ci prétendent en effet qu’il s’agit de quelque chose comme une culture jaillissant spontanément des masses mêmes, en somme de la forme actuelle de l’art populaire. (…) «
Transcription complète : Theodor W. Adorno, 1963-1964 L’industrie culturelle, in Communications, 3, 1964. pp. 12-18
Voir aussi : The Culture Industry as Mass Deception (in Dialectik der Aufklarung, 1944)
Et ici une analyse de 2007 de Gerald Raunig sur les industries créatives et l’ industrie culturelle. (How could it happen that this small shift from culture industry to creative and cultural industries became a brand of universal salvation not only for politicians, but also for many actors in the field?)
1 juillet 2013 – Entretiens
Visite d’atelier. Intervenants : Delphine Thibon, Arnaud Jammet, Lucie Calmon. Invités : Marie Bazire, Koumérou.
27 juin 2013 – Contemporary Historians
Visionnage de Terre d’Espagne (Joris Ivens, 1937) proposé par Delphine Thibon et Laure Bouscasse.